Choeur Auguste – Wild World
Choeur Auguste – Wild World Lire la suite »
Le Choeur Auguste, dirigé par Jérémie Zwahlen, aborde le répertoire folk sensible et délicat de Cat Stevens. Il est accompagné pour ce programme de la violoncelliste Fanny Balestro et de l’organiste Olivier Hartmann. Les concerts sont accompagnés par un dispositif de « video mapping », qui projette des images créées par le collectif d’artistes Telomeres Studio sur les murs des trois églises de la tournée.
Informations pratiques:
Choeur Auguste – Wild World Lire la suite »
Lors de son concert annuel, dimanche 6 octobre à 17h au Casino de Monetbenon à Lausanne, la Fondation Résonnance présente l’organisation 123-ACTION, dont la mission principale est la construction de puits d’eau naturelle dans les villages défavorisés. Elizabeth Sombart interprétera deux Concertos de Mozart, et le jeune pianiste Nicolas Comi rendra hommage à l’action de l’ONG avec des improvisations sur le thème de l’eau.
Extraits de l’article au sujet d’Elizabeth Sombart, par Myriam Vijaya dans L’Agenda 104:
« Mozart nous enseigne à ne pas s’apitoyer sur soi-même. Chez lui, la vie est plus forte que tout »
La vie de pianiste est loin d’être un long fleuve tranquille. Pour arriver à cette fluidité aérienne qui caractérise le jeu Elizabeth Sombart, cette unicité des sons, il faudrait passer par deux étapes. Celle de l’apprentissage et de la compréhension des oeuvres, « des gammes extérieures » pour les « faire renaître ». Cela passe par l’enseignement de la phénoménologie du son (écouter les sons pour mieux revenir à leur essence) et des gestes (utiliser son souffle, son diaphragme, comme le point de départ du son). Vient ensuite la deuxième étape de la transcendance de ce savoir musical, qui permet à l’artiste de dépasser son désir de tout maitriser. Ici, l’écoute du silence de ses « gammes intérieures » est comme une voie pour construire son chemin musical et son chemin de vie. Nous voici au coeur de la phénoménologie de la musique, la pédagogie enseignée à la Fondation Résonnance. « Tout dépend de nous, tout en sachant que cela ne dépend pas de nous » résume Elizabeth Sombart.
La vie de la pianiste a été marquée par des maîtres musicaux: Chopin, le poète de la nostalgie, Bach l’amoureux de la paix, Beethoven l’être libre et bien sûr Mozart, la joie pure. Des rencontres humaines décisives ont également défini son chemin. Celles de quatre maîtres exceptionnel·le·s qui ont transformé le monde musical et sa propre vie musicale: Bruno Leonardo Gelber en Argentine, Hilde Langer-Rühl à Vienne qui lui disait « On ne joue pas le piano avec ses doigts mais avec son diaphragme, le geste n’est que la conséquence d’un mouvement intérieur », Peter Feuchtwanger à Londres qui avait transformé tous les doigtés en son contraire pour éviter le jeu mécanique et Sergiù Celibidache à l’Université de Mayence avec l’enseignement de la phénoménologie. « Ils m’ont fait comprendre que la vérité est dans le paradoxe et qu’il ne faut pas avoir peur », note Elizabeth Sombart.
Informations pratiques:
La Musique & l’Eau
Concert annuel de la Fondation Résonnance
Dimanche 6 octobre 2024 à 17h
Casino de Montbenon, Lausanne
www.resonnance.org
Elizabeth Sombart – Musique classique, musique du coeur Lire la suite »
Le pianiste polonais Michal Drewnowski s’est prêté au jeu de l’interview, quelques semaines avant sa venue à Genève pour le concert d’ouverture du Festival Chopin.
Propos recueillis par Katia Meylan
Il est 17h sous nos latitudes, 10h à Chicago où vit Michal Drewnowski. Au téléphone, il s’exprime dans un français enthousiaste, appris dès son plus jeune âge et perfectionné lors de ses quatre années d’études au Conservatoire de Genève au début des années 2000.
Katia : Vous avez joué plusieurs fois au Festival Chopin. Quelle atmosphère y ressentez-vous ?
Michal Drewnowski : Un festival dépend beaucoup de la personnalité de son directeur artistique. Aldona [Budrewicz-Jacobson, fondatrice et directrice du festival depuis 27 ans, ndlr] est une personne fantastique, très émotionnelle, elle adore Chopin, elle adore la Pologne. Au milieu de Genève, elle a créé une bulle à l’atmosphère très polonaise, que j’aime beaucoup fréquenter. Déjà du temps où j’étais étudiant au Conservatoire dans la classe de Dominique Merlet, en 2002 et 2003, j’avais pris part à des Masterclass avec Eugen Indic. Cette année, c’est moi qui y donnerai une Masterclass pour la première fois. C’est incroyable !
Vous rappelez-vous du tout premier contact que vous avez eu avec la musique de Chopin ?
Ah ! Bien sûr ! Mon père est pianiste, alors j’ai entendu les œuvres de Chopin depuis toujours, c’est quelque chose de très naturel pour moi. J’ai des souvenirs de quand j’avais trois ans, puis plus grand, quand on habitait à Varsovie, et qu’il travaillait toutes les valses…
Comment avez-vous élaboré le programme chopinien que vous allez jouer le 3 octobre au festival ?
C’est une collaboration avec Aldona. Je voulais absolument jouer le Rondo car son style brillant me plait beaucoup. J’ai choisi aussi les Scherzo, et Aldona a eu l’idée de combiner ces trois pièces avec trois Nocturnes dans la même tonalité. En deuxième partie, je vais jouer le Concerto en fa mineur. J’ai beaucoup joué le Concerto en mi mineur, mais je n’ai appris celui en fa mineur qu’il y a deux ou trois ans. Pourtant, il est beaucoup plus proche de moi, de ma personnalité et de mes émotions. Il a une mélancolie unique, quelque chose qui m’émotionne toujours, même quand je le travaille, même après l’avoir écouté tellement de fois. Je ne sais pas comment expliquer. Vous savez, à 47 ans, on commence à penser très souvent à la jeunesse… cette mélancolie est proche de celle du concerto. Je la ressens dans les trois mouvements, même si mon préféré est le premier.
Il vous parle et pourtant vous avez mis toutes ces années à l’approcher ?
Je pense que c’était une erreur de jeunesse : quand on est étudiant, on valorise beaucoup la technique, alors on choisit du répertoire difficile en se disant que le public va apprécier la vitesse. Bien sûr, le Concerto en mi mineur appelle plus d’effets, il est plus virtuose. Mais maintenant que je suis beaucoup plus âgé [on l’entend sourire à travers le combiné] je choisis des œuvres uniquement en relation à mes émotions et mes états d’âme.
Photos: Festival Chopin ©Olivier Miche
Comment évolue votre rapport à ce répertoire ?
J’ai enregistré beaucoup de disques mais jamais, jamais Chopin. Je ne suis pas prêt. J’aimerais le faire, mais… je ne sais pas. Mon interprétation change si souvent, c’est un problème ! Si j’enregistre quelque chose cette année, l’année prochaine je risque de le détester ! Pour moi, enregistrer Chopin est plus difficile qu’enregistrer n’importe quel autre compositeur. D’ailleurs, je ne sais même pas quel programme je choisirais. Peut-être un récital, avec quatre ballades, quatre scherzi, deux sonates, quelque chose comme ça, de très intégral. En fait, j’ai toujours un peu peur de montrer mon Chopin ; de ne pas faire quelque chose d’assez unique, intéressant. Mais je veux le faire dans les années à venir, déjà pour moi-même, pour le défi que ça représente.
En attendant, je dois apprendre trois Nocturnes pour octobre !
Michal Drewnowski et le Quinette Éphémère
Concert d’ouverture du Festival Chopin
Jeudi 3 octobre à 20h
Conservatoire de Genève – Salle Franz Liszt
Festival Chopin, du 3 au 13 octobre
Tout le programme sur :
www.societe-chopin.ch
Michal Drewnowski – Chopin, une évidence, un éternel défi Lire la suite »
Un petit festival local et rassembleur, sans prétentions de taille mais avec une programmation si joyeuse! On y écoute autant de la musique folklorique festive que de la chanson, on participe à des animations, on découvre des spectacles rigolos portés par des chorégraphies déjantées (Les Allumettes) ou par des voix a cappella (La Soirée). L’Agenda a d’ailleurs vu ce spectacle il y a quelques années et en est ressorti avec des courbatures aux courbatures aux abdos, tellement on a ri. Il s’adresse tout particulièrement aux personnes faisant ou ayant fait partie d’une chorale de village… ;)
Informations pratiques:
Du 29 au 31 août 2024
Domaine du Cotrable, Villars-sous-Yens
www.tilleulfestival.com
Tilleul Festival Lire la suite »
Le festival 4 saison, créé en 2015 par des jeunes pour des jeunes (le fondateur du festival avait treize ans lors de la première édition!) évolue et se tient cette année sur trois jours plutôt qu’un seul. Il propose des concerts mais aussi de la médiation, un atelier de construction d’instrument et une exposition autour de la lutherie, le tout réuni autour de la thématique « Composer en Helvétie » .
Il garde bien sûr sa raison d’être: donner aux jeunes musiciennes et musiciens un cadre d’expression, et intéresser un large public à la musique classique. Cette année, les jeunes talents auront entre 10 et 26 ans.
Informations pratiques:
Du 30 août au 1er septembre 2024
Casino de Montbenon, Lausanne
Gratuit
www.festival4saisons.ch
festival 4 saison Lire la suite »
Si vous croisez la route d’un chapiteau dans un lieu insolite, il pourrait bien s’agir de celui des ArTpenteurs, une troupe de théâtre itinérante et pleine d’énergie. Dès cette semaine, elle repart en vardouille conter le monde merveilleux de Gulliver.
Texte et propos recueillis par Jeanne Möschler
Photos: © Philippe Pache
Carte blanche en poche, Yvan Richardet, improvisateur, comédien et musicien, devait écrire une comédie musicale jeune public sur le thème du voyage. En se replongeant dans Les Voyages de Gulliver, il a remarqué que beaucoup d’éléments faisaient échos à L’Odyssée d’Ulysse, interprété par sa troupe quelques années auparavant. Adapter la masterpiece de Jonathan Swift se révélait donc être une belle occasion de prolonger le travail avec la même équipe… ou presque. « Nous serons six à jouer sur scène; Laurent Annoni, Chantal Bianchi, Lorin Kopp, Verena Lopes, moi-même et Donatienne Amann, qui rejoint la troupe pour ce spectacle. Elle a un chouette parcours dans l’humour et l’improvisation, et ça nous permet d’avoir un autre point de vue. »
Depuis plus de 20 ans, les ArTpenteurs, sous la direction Chantal Bianchi et Thierry Crozat – metteur en scène des Voyages de Gulliver – présentent leurs créations dans toute la Suisse et à l’étranger. Lors de ces voyages, une « hospitalité réciproque » s’instaure; l’équipe s’installe dans une région qui devient temporairement la sienne et les gens sont chaleureusement reçus chez elle… chez eux. « Le chapiteau permet
de se rendre dans des lieux où il n’y a pas forcément de théâtre. Et aussi, on a une réelle envie de voyager et de rencontrer! »
Photo: Félix Imhof
Du théâtre lisible et jovial
L’oeuvre gullivérienne se compose de plusieurs couches – parodique, satirique et ironique – et propose donc un matériau très riche pour éveiller et stimuler les enfants. « Avec un jeune public, il faut que la pièce soit claire, mais pas simpliste. Elle doit être lisible, et nous, on doit tenir nos promesses, car le jeune public ne pardonne pas », estime Yvan en riant. Celui-ci a pris une liberté généreuse dans l’adaptation de ce fameux texte datant de 1721. En plus de proposer des images esthétiquement belles, il a souhaité réactualiser certaines analogies pour les jeunes générations d’aujourd’hui: « Comment parler de thèmes adultes, tels que l’anthropocentrisme, à des enfants? J’ai remplacé les chevaux parlants de Swift par des souris. C’est à la fois un animal chou, ce qui ménage une porte d’entrée aux enfants, et c’est une bête de laboratoire – ce qui est lié à la question de la place que prend l’humain dans la nature. » Le rire aura aussi une place centrale dans la pièce, car c’est « un outil pour garder l’attention. Et en plus, quand on rit ensemble, on est relié par quelque chose, c’est énergisant. » Avec un théâtre critique et joyeux, la troupe souhaite entamer la réflexion de la multiplicité des points de vue et de la prise de recul sur la réalité.
Un autre à la fois très petit et très grand
L’improvisateur confie être effrayé par l’évolution de notre rapport à l’information: « Une partie des jeunes se fie désormais à des vidéos TikTok et des tutos YouTube pour s’éduquer. Avec des informations très courtes, on ne montre qu’un seul point de vue alors qu’une pensée complexe devrait en faire dialoguer plusieurs entre eux. » C’est par un jeu de perspectives, de miniatures, de vidéos et d’ombres chinoises que les comédien∙ne∙s vont s’amuser à multiplier les points de vue et à questionner notre rapport parfois trompé à la réalité. Le théâtre à vue ou avoué est particulièrement adapté pour explorer ces questions. « On ne cherche pas à créer une illusion du vrai, on montre les coulisses et cela s’inscrit dans notre ligne artistique. » Marionnettes en boîtes de conserves et grimage en direct; objets et corps prennent vie sous les yeux du public. « Pour la scène de l’orage, par exemple, on filme une scène d’objets avec une toile pour faire la mer, et on la projette ensuite en grand écran au ralenti, ce qui donne un côté épique! » se réjouit Yvan.
En musique et avec le public
« Dans la troupe, on aime les personnalités multi-facettes et polyvalentes, certains font à côté du cirque, de la danse contemporaine ou du mime. Ces différents outils donnent des possibilités de création très riches. » L’équipe fera la part belle à la musique avec une ribambelle d’instruments – notamment ukulélé, trompette et synthé – sur des chansons de Joséphine Maillefer. « Les musiques permettent de faire une description d’un lieu de manière dynamique ou d’amplifier une petite émotion… et elles créent un moment mémorable. » Le public sera placé en arc de cercle autour des comédien∙e∙s – et jamais à plus de trois mètres, ce qui crée une belle proximité entre les deux côtés. L’équipe souhaite transmettre et éveiller plusieurs choses chez leur jeune public: « on aimerait qu’ils cherchent à reproduire les effets d’optique et qu’ils puissent mettre en scène la réalité. Par exemple s’amuser à reproduire des miniatures avec leur smartphone ou faire parler leurs doigts comme des marionnettes. Et s’il leur reste un ou deux refrains en tête, c’est encore plus chouette! ».
Informations pratiques:
Les Voyages de Gulliver Lire la suite »
Le festival neuchâtelois convie dans sa programmation des artistes aux trajectoires multiples, s’exprimant autant dans des concerts que par le théâtre musical, l’opéra ou la danse. Se croiseront notamment, à la Grange aux concerts et dans d’autres lieux du canton, les percussions persanes des frères Chemirani, Le Clavier bien tempéré de Bach sous les doigts du pianiste Gabriel Stern ou encore la musique composée par Chaplin pour ses Temps Modernes, interprétée en ciné-concert par
l’Orchestre des Jardins Musicaux.
Informations pratiques:
Du 16 août au 1er septembre 2024
Divers lieux, Neuchâtel
www.jardinsmusicaux.ch
Les Jardins Musicaux Lire la suite »
Voici un lieu et un événement dont vous n’avez peut-être pas encore entendu parler: La Nuit du Piano à la Grange de Nane. À 18h30, le bar de ce charmant endroit ouvre pour accueillir comme il se doit ses visiteuses et visiteurs, et dès 20h, six pianistes se succèdent dans des oeuvres classique ou jazz ainsi que des compositions personnelles.
Informations pratiques:
Vendredi 23 août dès 20h
La Grange de Nane, La Chaux sur Cossonay (Vaud)
www.facebook.com/La-Grange-de-Nane
La Nuit du Piano Lire la suite »
La nature se mêle à l’art contemporain.
Du 23 août au 14 septembre, les ruines du château de Bossonnens invitent à se balader à la découverte des sculptures et installations de 38 artistes romand·e·s d’origine ou d’adoption, durant la journée… ou à la tombée de la nuit, lorsque les sculptures s’illuminent et que la magie opère!
Depuis 2024, l’événement accueille également des peintres au sein du Village créatif chaque week-end, ainsi que des concerts au Bossonn’Art Café: on pourra notamment y écouter Le Beau Lac de Bâle et Carrousel ce week-end, ou encore voir le spectacle humoristique et gastronomique “C’est moi le chef!” de Nathalie Devantay & Philippe Ligron le jeudi 5 septembre.
Informations pratiques:
Exposition du 23 août au 14 septembre 2024
Concerts les 23, 24, 30, 31 août et 7 septembre
Spectacle le 5 septembre
Ruines du Château de Bossonnens, Fribourg
Gratuit
www.bossonnart.ch
Le dimanche déKalé est un événement festif sur le Rhône qui combine nourriture, discussions et musique.
Ce 25 août, G&C Traiteur préparera des spécialités africaines pour le brunch dès 12h30. Dans la suite de l’après-midi, les artistes du groupe Iyawa seront présent·e·s pour partager une discussion autour de leur art et faire découvrir leur musique aux sonorités du monde entier, du Congo à Cuba, en passant pas le Nigeria, le Maghreb, New-York et le Pérou.
Informations pratiques:
Dimanche 25 août de 12h30 à 18h30
Le Bateau-Lavoir, Genève
Prix pour le brunch: 28.-
Prix pour le brunch, la discussion et le concert: 38.-
www.maquis_dekale
Depuis 1990, date de création de l’Association du Quartier de la Valsainte, une équipe de bénévoles motivée organise un festival dans cette cour pleine de charme.
Cette année, le premier vendredi débutera avec le Bal de l’Orchestre Jaune, un groupe de joyeux lurons qui font des reprises pour faire danser le public. Le programme du samedi 17 août prendra des couleurs orientales, avec le groupe de folk psychédélique maghrébin El Mizan, puis le chanteur et guitariste Rodolphe Burger qui mêle son blues-rockélectro aux sonorités rai du Trio Mademoiselle. Le chaabi égyptien de la DJ La Louuve terminera la soirée.
Le vendredi du week-end suivant accueillera Patrick Sans Doute et Virage, ainsi que DJVOLT. Le samedi sera encore une occasion de danser et faire la fête avec The Big Ukulélé Syndicate.
Informations pratiques:
Les 16 et 17, 23 et 24 août 2024
Cour de la Valsainte, Vevey
www.aqv.ch
Festival de la Valsainte Lire la suite »
Le carillon de l’Eglise de la Rosiaz sonne régulièrement lors des fêtes, avec des invité·e·s venus du monde entier et des programmes thématiques concoctés par l’organiste passionné Daniel Thomas.
Le 1er août sera l’occasion de célébrer le patrimoine suisse, avec des pièces folkloriques… et de célébrer tout à la fois le reste du monde! En effet, la carilloniste québécoise Andrée-Anne Doane et le ténor péruvien Andrés del Castillo interpréteront également de la musique instrumentale française, des arrangements de chansons populaires francophones et des extraits de La Mélodie du bonheur. Une culture est belle dans les reflets qu’elle prend et qu’elle donne aux autres!
Informations pratiques:
Jeudi 1er août à 17h
Église de la Rosiaz, Pully
Collecte à prix libre
www.carillons.ch
Carillon du 1er août Lire la suite »
La musique n’a pas de frontières; cela dit, on ne sait pas vraiment pourquoi, mais on ne peut pas s’empêcher d’être un peu fier·ère de savoir qu’un ou une artiste est Suisse. Non? On se dit: qu’il est fertile notre pays!
Au Paléo, les jeunes talents helvétiques en pleine expansion côtoient des noms qui figurent dans le circuit musical depuis des décennies. La scène Face Nord réserve un espace privilégié, avec deux concerts dans la soirée: le mardi soir accueille Barlovento Sur, un groupe dédié à la musique folklorique latino-américaine. Le mercredi reçoit Avelune, un duo qui dialogue entre musiques classiques et électroniques, harpe et trombone. Le jeudi sera aussi le temps d’un dialogue, mais cette fois entre le rock et le rap, inspirations de l’artiste BUSI. Le vendredi, l’autrice-compositrice RAKI viendra distiller son jazz-pop-électro-expérimental, et le samedi redeviendra latin, avec le groupe féminin Son Hermanas qui évolue dans le répertoire traditionnel mexicain. Le dimanche, pour un seul concert, A.W.A and the Nomads interpréteront une folk sereine et spirituelle, inspirée de voyages et de messages de paix.
Revenez faire un tour sur notre site en fin de semaine pour découvrir l’interview d’Avelune par notre rédactrice Laetitia!
Si la scène Face Nord fait la part belle aux artistes suisses, ils ne sont pas exclu·e·s du reste de la programmation, et donnent rendez-vous au public tout au long du festival: notamment Lakna, Nuit Incolore, Silance… et bien sûr les humoristes de 52′ pour un show musical parodique le samedi 27 juillet.
Informations pratiques:
Scène Face Nord
Du mardi 23 juillet au dimanche 28 juillet
Deux concerts, à 18h45 et 21h15 (ou 21h30, voir horaires)
Le dimanche, 1 concert à 20h35
www.yeah.paleo.ch
Des Suisses à Paléo Lire la suite »
La 18e édition des Aubes aux Bains des Pâquis a commencé ce matin-même, à 6h, avec le concert de la jeune auteure-compositrice-interprète Maud Paquis (coincidence?).
Ces concerts sont toujours un moment hors du temps, un peu magique… humain·e·s et oiseaux lacustres se baignent, s’étirent, prennent le petit déj. ou se laissent tout simplement réveiller par la musique et la lumière changeante.
Les concerts se poursuivent tous les matins jusqu’au 18 août, dans des styles aussi variés que du mambo, de la musique indienne, du rock, du lyrique ou encore de l’électro.
Informations pratiques:
Du 15 juillet au 18 août 2024 à 6h
Bains des Pâquis, Genève
Gratuit
www.lesaubes.ch
Cette semaine est l’occasion de se plonger corps et âme dans le tango, soit en tant qu’auditeur·ice, soit en tant que danseur·euse, soit les deux! L’école de danse Coco Gardel organise une fête dédiée à cet art argentin à Vevey et La Tour-de-Peilz.
Pour les danseur·euse·s, deux couples de maestros venus d’Argentine et d’Italie donneront un séminaire intensif autour des sacadas et des ganchos. Des milongas menées par des DJ internationaux·ales ont lieu du jeudi au dimanche, sans inscription nécessaire au préalable.
Pour celles et ceux qui souhaiteraient profiter de la musique live, des concerts sont organisés du mercredi au samedi, avec la venue de cinq groupes de tango.
Informations pratiques:
Du 17 au 21 juillet 2024
– Concerts: Oriental-Vevey
Entrée libre, chapeau
– Milongas: Couvert des Mousquetaires et Salle des Remparts, La Tour-de-Peilz
De 20.- à 25.-
www.cocogardel.ch
Riviera Tango Fiesta Lire la suite »